Répondre à : un premier défi pour la conception d'avion hypersonique
L’augmentation de vitesse lors du mouvement des volets n’a plus lieu d’être depuis pas mal de versions, ce qu’on appelait le « Flapping » : tu pourras t’en rendre compte en essayant, il devient excessivement difficile de passer au delà de 1759 m/s dans un cas d’usage « réaliste » c’est à dire en altitude, en limitant les risques d’explosions et en conservant un appareil capable de décoller et ré-atterrir sans casse. Volet ou non, consigne impulsionnelle ou non, la vitesse atteint un palier fort et ne dépend que d’une chose : la perte de puissance des propulseurs à ce couple altitude / vitesse, entre 20 et 23km.
Le fait de pouvoir décoller à l’horizontal et atterrir sans casse fait parti des challenges, c’est même le principal, même si les membres semblent s’être plus concentrés sur le BruteForce qui n’est pas totalement inintéressant en terme de résistance à la température, d’impact de l’aérodynamisme à des vitesse très élevées en milieu atmo dense, etc 🙂 Réussir cela tout en conservant l’intégrité de l’appareil reste encore à venir et ça doit être possible en échangeant quelques dizaines de m/s de top speed contre la récupération totale de l’engin et son atterrissage.
Reste que ça n’est pas encore homologué :p