Répondre à : La spatiothèque de Tayronn
Journal de bord n°4 : Leçon d’inefficacité
Le Kolibri est un lander sympa mais pas bien utile dès qu’il faut naviguer loin de la surface. C’est pourquoi il a fallu inventer un vaisseau-mère pour l’accueillir et le transporter entre les astres. C’est ici que le « J’ai-pas-encore-trouvé-de-nom » entre en jeu. Les 2 images ci-dessous dévoilent le décollage de son lanceur, qui fut plutôt chaotique : je n’avais encore jamais fabriqué de fusée type « navette spatiale », et raconter sa conception mériterait une épopée à elle toute seule…
Les deux images suivantes montrent enfin les détails du vaisseau. Voici son cahier des charges :
– Delta-V de 3000 m/s minimum, pour pouvoir naviguer entre les lunes jupitériennes et s’insérer en orbite de l’une d’elles.
– Un hangar pour recevoir le lander Kolibri, équipé d’un système d’éclairage d’aide au docking (détails à venir dans un prochain journal).
– Un cockpit 2 places : un pilote prudent et un pilote téméraire qui se chargera d’atterrir sur la lune en question à bord du Kolibri. Pour le confort de vie, je suis certain que vous imaginez déjà ce qu’il va falloir imaginer par la suite !
Je n’avais pas remarqué son côté X-Wing quand il est vu de derrière ! L’objectif de la journée était de tester l’engin en orbite lunaire (oui, j’aime la Lune) et d’essayer le système de docking avec le Kolibri. Comme le montrent les deux images suivantes :
Et là… Catastrophe ! le hangar est trop étroit, et le Kolibri n’a pas voulu sortir de son nid ! Les dégâts sont irréparables !
Tant pis, un petit F5/F9 et on rentre sur Terre réfléchir à tout ça. On va en profiter pour affiner le design du vaisseau-mère, et lui trouver un nom de baptême (ça lui a sûrement porté malheur cette histoire).
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 9 mois par Tayronn.