Répondre à : Défi – Aller sur la Mun comme Apollo 11 et revenir
Belle aventure Verthel. la fusée bleue est superbe, je suppose que c’est du 1.4.X…..
Alunissage
Orbite lunaire à 100 kms pour le module de retour, la séparation est effectuée après le transfert d’un pilote et d’un scientifique dans le LEM. Puis le LEM commence le freinage
Le pilote vise la zone, au nord du LEM, la tache noire sur la lune, autour de la quelle le terrain semble moins accidenté, mais c’est une vue à 95 kms d’altitude
vue de la trajectoire effective
Passant 46000m en descente
Finalement en dessous de 10000m on s’aperçoit que ce n’est que cratères et grosses collines, sur une zone montagneuse, mais heureusement il semble que le terrain juste en dessous soit assez plat.
A 4500m, mais 1500m sol, le sol est à 3000m d’altitude, le taux de chute est stable à 30m/s.
Il reste largement plus de la moitié du carburant, la mission semble bien engagée
A 100m du toucher, nous sommes bien positionnés, descente à 5.4m/s
Alunissage parfait a la main
Descente de l’échelle et premiers pas sur la lune
On plante le drapeau !!
Quelques experiences, mais qui ne rapportent rien en mode « Bac à sable »….
Décollage et retour en orbite
Puis c’est le moment du décollage, le train d’atterrissage avec le moteur et le reservoir d’alunissage restant sur place comme prévu
Le pilote soigne la trajectoire pour se retrouver dans le meme plan que le module retour
On a un peu dépassé les 100kms, mais le pilote circularise pour se positionner à l’intérieur de l’orbite du module retour à 91 kms
Et voila le travail! Avec le carburant qui reste on aurait pu remonter avec l’étage du LEM resté sur la lune
Calcul de la manœuvre de rapprochement, à la main également
Le pilote va ensuite utiliser le DPAI, Docking port alignement indicator, qui est un instrument bien pratique, surtout quand on doit se docker en se rapprochant dans le noir, exactement comme dans le cas present ou les 2 vaisseau n’arrivaient pas a se voir avant d’être tres proches l’un de l’autre
Le DPAI fonctionne comme un directeur de vol. Après avoir sélectionné le port « Target » sur le vaisseau cible ou l’on veut se docker, il suffit d’utiliser les touches de translation RCS en « tirant » le petit rond jaune vers les barres vertes, pour finir par centrer le tout. L’indicateur donne la vitesse relative de rapprochement, les distances et la position du vaisseau en rapprochement qui est symbolisé par le rond orange. Si on a également pris soin de stabiliser le vaisseau cible en mode « Target in », donc ici en désignant au module retour le LEM comme Cible, le Docking se fait comme un ILS sur un avion!
Retour vers la terre
Apres le docking, les pilotes calculent une trajectoire retour
Puis on abandonne le LEM
Un periapsis à 61 kms permet de faire fondre le docking port situé sur le bouclier thermique et d’ouvrir rapidement ce dernier. La manoeuvre avec quelques passages supplémentaires diminue rapidement l’apoapsis sans dépenser une goutte de carburant. on a dépensé à peine 300DV sur les 850 prévus, on aurait pu prendre un reservoir 2 fois plus petit et le ramener avec nous……
Puis c’est le retour vers Cap Canaveral en espérant se poser aussi près que possible, mais dans la nuit…
Ouverture des 2 parachutes à 1800m
Posé dans la mer au bord du rivage, Waypoint management nous dis qu’on est à 12 km de la base. Le bouclier sert de « Canopy » géant!
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Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 1 mois par
Gilflo.