Défi – Aller sur la Mun comme Apollo 11 et revenir
- Ce sujet contient 26 réponses, 7 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par yexank, le il y a 6 années et 7 mois. This post has been viewed 3721 times
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4 avril 2018 à 23 h 12 min #7956VerthelParticipant
Voici un défi en mode science qui peut s’adresser à tous, débutants comme experts en construction de fusées.
Aller de Kerbin sur la Mun et en revenir, en s’inspirant de certains choix techniques des vols Apollo.
Quelques impositions, sinon ce n’est pas un défi :
1) Jouer en version 1.4.x ou 1.3.x, en mode science, avec le niveau de difficulté de votre choix, pour ramener le plus possible de points de sciences en un seul voyage et un seul amunissage. Le paramètrage des gains de sciences doit rester cependant à 100% pour ne pas fausser les résultats.
2) Faire partir une fusée complète pilotée par des Kerbonautes du centre spatial, sans assemblage de la fusée en orbite ni recours à un quelconque ravitaillement en cours de voyage. Pas de module de commande automatique, il faut des pilotes aux manettes. La fusée Saturn V est partie de Cap Canaveral en un seul morceau, sans récupérer des pièces ou modules en orbite venant d’un autre lanceur. Après la mise en orbite, vous pourrez réorienter ce que vous voudrez, comme ça a été fait en vrai, ou ne rien faire selon vos choix de conception de votre fusée.
3) L’équipage au départ est de 3 Kerbonautes, pas un de plus pas un de moins, mais la fusée doit avoir 5 place vu les contraintes suivantes. Vous choisissez leur professions comme vous préférez.
4) Un Kerbonaute restera dans un orbiteur (avec impérativement 3 places pour le retour) autour de la Mun pendant qu’un atterriseur occupé par les 2 autres se posera sur la Mun. L’idée est de respecter le principe général du LEM et du Module de Commande et de Service historique, mais vous accrocherez vos modules comme ça vous arrange (tête bêche, cote à cote, l’un sur l’autre, …).
5) L’atterrisseur devra être à minima composé de deux parties incluant au moins une expérience scientifique (et plus si vous voulez ramener beaucoup de points de science). Il se posera sur la Mun « en entier ». Vous vous posez où vous voulez sur la Mun. Vous ferez au sol toutes les expériences scientifiques, rapports, prélèvements et EVA que vous voudrez.
Deux limitations :
a) un module type de module scientifique sera limité à 2 exemplaires pour la mission (ex : 2 thermomètres, 2 Goo, …). C’est pour éviter un trop grand nombre de survols de biomes avec 20 exemplaires du thermomètres. L’esprit de la mission d’origine est de se poser et de faire les mesures sur place, au sol.
b) Le laboratoire scientifique est interdit. Ce n’est pas historique, on est sur une mission type Apollo, pas Skylab. 😉6) La partie avec les jambes d’atterrissage devra rester sur la Mun, pendant que la partie habitée (étage de remontée) retournera en orbite s’arrimer à l’orbiteur. L’idée est de respecter le principe général du LEM historique.
7) Une fois l’étage de remontée arrimé à l’orbiteur, l’équipage sera transféré dans le Module de Commande (3 places obligatoirement).
8) Toute la science obtenue sur la Mun devra être récupérée d’une manière ou d’une autre au niveau du Module de commande pour revenir sur Kerbin. A vous de trouver comment faire et dimensionner les expériences présentes sur votre atterrisseur pour pouvoir tout récupérer.
9) Le module habitable de l’étage de remontée (2 places) devra impérativement être largué avant le départ de l’orbite Munaire, comme dans la mission historique. Pour être précis, il s’agit à minima de la capsule 2 place. Vous pouvez déplacer, récupérer, transférer les expériences, comme ça vous arrange pour respecter le point (8).
10) Et enfin il faut faire atterrir sur Kerbin l’équipage sain et sauf.
Mods ou pas Mods :
- Vous pouvez choisir de jouer sans aucun mods (version stock).
- Si vous voulez utiliser des mods, il y a une seule interdiction, les mods qui changent le comportement de la physique en jeu ou qui modifient l’arbre technologique en rajoutant des modules scientifiques et expériences ou modifiant les points de science.
Donc vous pouvez utiliser tous mods graphiques, tous mods rajoutant des pièces, mods permettant d’ajuster le type de carburant dans les réservoirs, d’affiner les manœuvres, d’aider visuellement aux arrimages, …
Ca peut être l’occasion de faire découvrir des mods à des joueurs qui ne les connaissent pas.
Pourquoi le mode science :
Simplement pour donner un critère sur les points de science ramenés en un voyage et inciter à le réaliser avec un arbre technologique pas complètement développé et avant d’avoir épuisé les points de sciences récupérable sur la Mun.
Vu qu’il n’y a que peu de contraintes sur les mods, le défi perdrait à mon avis un peu de son intérêt en étant fait en bac à sable avec tous les modules disponibles.
D’autant qu’en réalité le programme Apollo a été réalisé avec la technologie des années 60, pas avec celle d’aujourd’hui.Version alternative :
Pour les puristes, la mission peut se faire avec le mod SSRSS, en respectant les contraintes précédentes.Partir de zéro ou utiliser une sauvegarde existante :
- Vous pouvez utiliser une ancienne sauvegarde en mode science et ayant déjà débloqué les technologies que vous jugerez minimales pour réaliser le défi. Il n’est pas impératif de recommencer un mode science de zéro. On comprend bien que ça peut rebuter certains.
- Mais bien sur, vous pouvez aussi faire le défi sur une nouvelle partie.
Vous pouvez poster vos tentatives et succès sous la forme que vous voulez, du moment qu’on peut voir que vous respectez les impositions (exemple non contraignant : une capture d’écran avec les deux kerbals au sol sur la Mun à coté de l’atterrisseur, l’écran des gains de science au retour, …).
L’intérêt est aussi que vous expliquiez vos choix et comment vous réussissez le défi.
Bien sur votre fusée ne ressemblera probablement pas à une Saturn V, c’est l’intérêt du jeu de laisser libre cours à l’imagination de chacun.
A part le nombre de points de science récoltés, je n’ai pas d’idées de critère pour classer les participants au défi.
Mais est-ce franchement nécessaire, vu que le premier intérêt est d’y arriver?- Ce sujet a été modifié le il y a 6 années et 8 mois par Verthel.
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5 avril 2018 à 0 h 14 min #7959GilfloParticipant
Interessant ton defi, mais tu peux préciser pour les mods: aucun mods, tout mode graphique, tout mods rajoutant des pièces….aucun mods??
Seul le module de commande doit être en manuel pour faire la descente et l’atterrissage sur la lune en manuel: C’est bien ca?
La version 1.4.X ou 1.3.1 il me semble que c’est pareil à part la langue?
Pourquoi 5 places dans la fusée, puisqu’ils partent à 3 et reviennent à 3, 1 restant dans l’orbiteur pendant que 2 autres utilisent le LEM?
Mais je vais essayer de m’y coller. Ca me plait bien
Est ce que tu acceptes la vrai lune et la vrai terre en 1.3.1 avec le mod SSRSS comme prévu pour les challenges precedents
Pour le mode science uniquement, cela implique qu’on ait déjà joué suffisamment dans ce mode pour avoir les éléments nécessaires au défi: pas très pratique, je n’ai pas vraiment envie de recommencer depuis le debut pour pouvoir faire ce challenge, alors pourquoi ne pas limiter au mod stock pour ce qui est des moteurs et des experiences scientifiques par exemple, et laisser libre pour le reste?
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par Gilflo.
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5 avril 2018 à 0 h 28 min #7962yexankParticipant
Salut 🙂
Défi intéressant, je m’y amuserais surement, mais je me permet quelques remarques, surtout sur la science:
1) On vient pas de terminer un défi ‘Apollo 11’ il y a quelques jours ? Au moins pas mal de membre ont déjà de quoi faire 😎
2) « pour ramener le plus possible de points de sciences en un seul voyage » – La science n’est pas un bon facteur de points ici je trouve, vu que ça oblige à bourrer la fusée de modules science et à tourner pendant des lustre au dessus de chaque biome, ce qui est très loin de la mission original qui se concentre surtout sur la surface.
3) « avec le niveau de difficulté de votre choix » – Certains elements de difficulté, sauf erreur de ma part, modifie le gain de science.
4) les points (8) et (9) sont pour moi contradictoire, car il n’y a pas moyen de « transférer » un grand nombre de science dans un petit module (sauf si on autorise le laboratoire, mais dans ce cas il n’y a presque aucune limite a la creation de science ^^).
5) Je pense qu’il y a une erreur dans la partie « mods ou pas mods », ou alors c’est moi qui n’y comprend rien 😛
6) « sans assemblage en orbite » – on as pas le droit de changer le docking des modules en orbite comme dans la mission original ?Sinon, c’est bien écrit, les images d’illustrations sont cool.
edit: ils ont aussi piloté le retournement du LEM pour le docking en orbite 🙂
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par yexank.
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5 avril 2018 à 8 h 20 min #7967VerthelParticipant
Merci pour ces premières réactions, ça va permettre de clarifier certains points.
Quelques précisions par rapport aux questions posées :
- Pour l’utilisation de mods, j’ai juste voulu limiter sur ce qui changerait fondamentalement le jeu et ajouterai des modules d’expérience scientifiques.
Donc je propose pour le reste une grande liberté dans l’utilisation des mods, incluant bien sur la possibilité de jouer sans mods. - Concernant les niveaux de difficulté, j’avais compris que la gain de science n’affectait que le mode carrière. Cependant, je vais préciser que le réglage du gain de science doit rester à 100%.
- Pour les modules, l’imposition est d’avoir des capsules habités avec un ou des pilotes. J’ai voulu exclure l’utilisation de modules de commande automatiques (HESC, OKTO, etc …) avec par exemple une cabine passagers MK1.
Ce n’est pas l’esprit Apollo même si en réalité une bonne partie du voyage est automatisé. L’absence de pilote aux commandes n’aurait pas permis les manœuvres d’Armstrong à quelque secondes de l’alunissage ou le retour d’Apollo 13 après son problème.
Etant de mon coté en train d’essayer le défi avant d’avoir pensé à le proposer, j’ai des pilotes à 2 ou 3 étoiles, donc c’est un pilotage « manuel »
Par rapport aux pièces « Stock », un module de commande MK1-3 (3 places) d’un coté et un module d’atterrisage type MK2 sont plus dans l’esprit historique. C’est un exemple de modules, pas une obligation de les utiliser. - La fusée avec 5 places au décollage respecte les vols Apollo d’origine. 3 astronautes, 3 places dans la capsule de retour, 2 dans le LEM abandonné après le passage sur la lune.
- Pour la version SSRSS, c’est une idée, je mets ça en version alternative. Et donc la possibilité de faire le défi en 1.3.x vu que SSRSS n’a pas encore migré.
- Pour le moment je préfère laisser en mode science pour avoir le défi des gains de science. Je pense que c’est intéressant de voir ce qu’on peut gagner en un seul voyage. Après, on verra en fonction des demandes et si quelqu’un veut absolument faire le défi en mode bac à sable ou sur une carrière en cours, pourquoi pas. Ca peut aussi être intéressant d’avoir un compte rendu de plus avec des choix techniques différents.
Rien n’interdit de reprendre une ancienne sauvegarde en mode science ayant déjà débloqué les technologies minimales nécessaires. Le défi n’impose pas de commencer de zéro. Je rajoute cette précision. - Concernant les modules scientifiques, on va limiter à 2 exemplaires d’un type de module. Ca remettra l’esprit de la mission historique. Et on va interdire le labo qui ne correspond pas à une mission Apollo.
- Pour l’interdiction de l’assemblage en vol, c’est juste pour dire qu’on n’envoie pas la capsule avec une fusée, l’atterrisseur avec une autre et on assemble en orbite. Ce n’est pas historique.
On part avec une fusée unique qui contient tout le nécessaire à la mission. Une fois en vol, vous pouvez bien sur restructurer comme vous voulez, retourner ou réorienter les modules. C’est autorisé, pas obligatoire. Ca a été fait dans la mission d’origine, mais si vous avez une solution pour ne pas le faire, pas de problème tant que ça respecte le concept des deux parties. - Pour moi, il n’y a pas de contradiction entre les points 8) et 9). Le transfert des expériences tel que décrit au point 9) n’impose pas l’utilisation de modules de stockage scientifique.
S’il y a d’autres questions ou remarques, n’hésitez pas pour faire avancer et clarifier la formulation du défi.
- Pour l’utilisation de mods, j’ai juste voulu limiter sur ce qui changerait fondamentalement le jeu et ajouterai des modules d’expérience scientifiques.
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5 avril 2018 à 9 h 12 min #7970DakitessAdmin KSC
Excellent formalisme, avec 2 réponses riches permettant de clarifier les zones d’ombres. Tout ce que j’aime ^^
C’est un Classique parmi les Classiques, et pour une fois, il est bien posé sur le papier, j’espère donc que ce topic accumulera quelques participations, même sur le long terme 🙂
Pour ma part, je n’ai joué en mode Sciences que lors de sa sortie, il y a… Il y a plus de 3 ans je pense, et ça ne m’a pas du tout du tout emballé. Je ne suis pas certains de la pertinence de cette contraintes, nombre de joueurs auront terminé l’arbre et participeront avec toutes les parts, et nombre d’autres se sentiront limités et n’oseront peut être pas participer dans leur état actuel d’avancement, préférant reporter ce genre de Challenge pour quand ils auront tout débloquer.
Mais en même temps je comprends l’idée ^^
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5 avril 2018 à 10 h 07 min #7974GilfloParticipant
Merci pour les précisions.
Personnellement je jouerai en mode « bac à sable » car ca fait des annéess que je n’ai pas joué en mode science.
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5 avril 2018 à 13 h 27 min #7975VerthelParticipant
Je comprends les réticences vis à vis du mode science. C’est une question de goût
Ce n’est donc pas un critère bloquant pour le défi.
Mieux vaut avoir plus de participants que coincer sur un paramètre et que ça fasse un flop. 😉Pour ma part, j’en suis à ma 3ème partie dans ce mode (une en 1.3.1, une en SSRSS, une en 1.4.1). C’est sur cette dernière que j’ai eu l’idée de proposer le défi, pendant le weekend de pâques, après avoir vu que c’était faisable avec les technologie à 160 points de science.
Peut-être que c’est une occasion pour certains de redécouvrir ce mode de jeu et d’avoir le plaisir d’avancer avec des contraintes technologique.
Je pensais bien que c’était un classique mais je ne l’ai pas trouvé sur ce forum.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par Verthel.
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5 avril 2018 à 14 h 13 min #7977TayronnParticipant
Chouette défi, très complet, très précis, sur un thème que beaucoup d’entre nous ont déjà dû essayer.
Hélas je sors tout juste d’une indigestion d’Apollo 11 : https://kerbalspacechallenge.fr/forums/topic/bande-dessinee-diptyque-venera-13-apollo-11/
Mais j’observerai les résultats avec beaucoup de curiosité !
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6 avril 2018 à 19 h 29 min #7979Le chimisteAdmin KSC
Je vais tenter ce défi, en 1.3.1 stock + d+magical orbital science si c’est bon ?
Comme les proportions par rapport à celle de la Terre, des différentes orbites des planètes découvertes sont connues, avoir la distance de la Terre au Soleil, permettait de connaître le demi grand axe de chaque planète connue.
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6 avril 2018 à 20 h 31 min #7980VerthelParticipant
Ton mod magical orbital science a quels effets?
Si ça ajoute des modules scientifiques qui récupèrent de la science, mieux vaudrait ne pas utiliser ces modules, juste ceux de base. Sinon ça va fausser le résultat sur l’aspect gain de points de science en un voyage.
Pour le jeu en 1.3.1 pas de problèmes, ça a été rajouté par rapport au projet de défi initial.
Bonne chance pour ta tentative.
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6 avril 2018 à 20 h 51 min #7981Le chimisteAdmin KSC
moi qui voulait rapporter 2 à 3000 points de science, 😉
j’y réfléchis pour demain matin
Je viens faire un marathon spatial pour récupérer assez de science pour aller sur la Lune
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par Le chimiste.
Comme les proportions par rapport à celle de la Terre, des différentes orbites des planètes découvertes sont connues, avoir la distance de la Terre au Soleil, permettait de connaître le demi grand axe de chaque planète connue.
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6 avril 2018 à 23 h 28 min #7984GilfloParticipant
En mode bac a sable je ne rapporterai aucun point de science, mais je m’en fous, j’y vais pour le fun et le defi….j’ai prevu un lancement depuis Cap Canaveral et une recuperation du 1er étage en Afrique, pendant que le reste de la fusée continue en orbite.
Mise en orbite autour de la terre, injection lunaire et mise en orbite a 100km avec le 2eme etage. Tout ca en mode automatique comme dans la realité. Je le referrais ensuite en manuel si besoin et surtout pour voir si je fais mieux au niveau DV
Ensuite separation et il restera en orbite lunaire le module de retour et le LEM composé lui meme de 2 etages.
Le LEM équippé des instruments scientifiques se separera du module retour et descendra en mode manuel sur la lune pour y atterrir. Experiences scientifique, puis decollage vers le module retour, en laissant sur le sol lunaire un etage train, reservoir, moteur de descente.
Docking sur le module retour, transbordement de l’equipage, separation du LEM, puis injection du module retour vers une orbite terrestre.
Je ne sais pas encore comment je ferais le transbordement de l’equipage du module retour vers le LEM, surement en EVA alors que dans la realité ca doit se faire a travers le module de docking…..
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8 avril 2018 à 18 h 40 min #7989Le chimisteAdmin KSC
Je suis reparti sur le projet
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par Le chimiste.
Comme les proportions par rapport à celle de la Terre, des différentes orbites des planètes découvertes sont connues, avoir la distance de la Terre au Soleil, permettait de connaître le demi grand axe de chaque planète connue.
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8 avril 2018 à 20 h 02 min #7991VerthelParticipant
Ca a l’air bien avancé.
Je suis curieux de voir à l’œuvre et comment ça fonctionne.
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8 avril 2018 à 22 h 28 min #7992Le chimisteAdmin KSC
La partie lanceur est sous évaluée, j’ai trop de carburant par endroit pas assez dans d’autres
Je continue.
Et en plus j’avais oublié le troisième passager 😉
Comme les proportions par rapport à celle de la Terre, des différentes orbites des planètes découvertes sont connues, avoir la distance de la Terre au Soleil, permettait de connaître le demi grand axe de chaque planète connue.
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9 avril 2018 à 8 h 02 min #7993VerthelParticipant
Pour mes tentatives, j’en suis arrivé à utiliser une fusée assez classique dans sa structure, avec deux paires de propulseurs d’appoint.
rq : Les petits conteneurs sous la coiffe sont ceux du mod Tac Life vu que j’ai profité de ma partie en cours testant ce mod pour faire le défi.
Pour le moment la partie habitée est cachée par la coiffe. Elle apparaitra en orbite. 😉
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9 avril 2018 à 22 h 44 min #7999GilfloParticipant
Présentation de ma fusée Apollo 11
LE LEM
Module MK2 lander Can, biplace, équipé d’un reservoir Rockomax X200-8 d’une capacité de 440 Oxy et 360 LF et d’un moteur de remontée « Rhino » tweakscalé à 0.625 d’une masse de 102kg
Sous le moteur se trouve un ensemble prévu pour la descente, même moteur Rhino associée à une plateforme comprenant 4 trains d’atterrissage « Micro landing strut » et un réservoir Round 8 Toroidal
D’une capacité de 264 Oxy et 216LFle reservoir toroïdal, son moteur et le train d’atterrissage sont abandonnés sur place pour la remontée en orbite lunaire
Le total pese 11T228 et développe 2814 DV Moon avec un TWR initial à 1.24
L’utilisation de 2 moteurs, dont un abandonné sur place a été choisie car moins couteuse en poids que l’utilisation d’un système plus complexe avec 1 seul moteur
Equipements scientifiques posés sur le Lander Can: mysterious goo, Seismic Accelerometre, Thermometre, Détecteur Gravioli GRAVMAX, tous en double
Le lander est équipé d’un docking port, de projecteurs, de panneaux photovoltaïques associés à 2 batteries Z100 rechargeables , de 2 échelles de descente donnant accès au sol et aux instruments scientifiques et de 4 block thrusters RV 105 au monopropellant équilibrés pour un docking reservoirs de remonté complètement vide
Le Module retour
8.717T -moteur Rhino 0.625 avec Reservoir FL-T400 ejectable – 869 DV VAC
MK1-2 Command pod protégé par un Heat shield gonflable de 10m, équipé de 2 parachutes, panneau photovoltaïques et 2 Gigantor Solar Array.
Le reservoir est surmonté d’un GRU (remote guidance unit) car le Command Pod est monté à l’envers pour des questions pratiques, telles que par exemple le passage EVA d’un module à l’autre par l’échelle. Le GRU permet de faire les manoeuvres prograde et retrograde dans le bon sens.
Le module retour docké sur le LEM
L’ensemble couvert par le Fairing
L’étage d’injection lunaire
1 moteur Rhino 2.5m et 2 reservoirs Rockomax X200-32 (L’équivalent d’un jumbo 64) donnant 2447DV VAC (2357 avec Fairing), meilleur compromis poids/DV, Le total surmonté du module retour et du LEM pèses 61.6T (63,2T avec Fairing)
Le total est monté de façon que le Command Pod soit dans le bon sens pour le décollage vers la lune
Le 1er étage récupérable
Il est composé de 5 moteurs « Vector » à 1m35, chaque moteur étant surmonté de 2 reservoirs Jumbo 64. Le reservoir central supérieur est utilisé seulement pour le freinage de l’étage lors du retour atmosphérique. 1 GRU permet le guidage de l’étage lors du retour.
Les 4 reservoirs principaux sont équipés chacun de 15 parachutes qui s’ouvrent à la commande à partir de 4000m pour assurer un atterrissage en douceur.
L’étage est dimensionné pour un lancement à Cap Canaveral, suivi d’un atterrissage en Afrique.
Apollo 11 sur la rampe de lancement
Poids total au décollage 477,5T
Le mod FMRS (Flight Management for Reusable stages) permet la récupération du premier étage.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par Gilflo.
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9 avril 2018 à 23 h 31 min #8005VerthelParticipant
C’est très précis et détaillé !
L’idée du Command Pod monté à l’envers pour le module de retour est amusante.
Ca risque de perturber la digestion des kerbonautes quand ils vont subir la poussée « tête en bas ».Si je peux me permettre une interrogation, comment est ce que tu arrimes ton LEM au module de retour après décollage de la lune?
On voit bien le docking port sur le haut du lander mais il y en a un autre sous le bouclier gonflable?Bonne chance pour la suite du défi et l’atterrissage lunaire.
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9 avril 2018 à 23 h 45 min #8006GilfloParticipant
oui il y en a un autre sur le bouclier gonflable et le bouclier ne sera utilisable que lorsque le docking port aura fondu, au de la de 1000°. Faudra pas trainer pour le gonfler!
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10 avril 2018 à 16 h 38 min #8010GilfloParticipant
En fait les kerbonautes ne subissent que l’injection du retour Lune Terre en étant à l’envers, ce n’est pas violent. La deceleration finale lors de la chute dans l’atmosphere se fera dans le bon sens.
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10 avril 2018 à 17 h 15 min #8011GilfloParticipant
DÉPART VERS LA LUNE
Lancement de nuit, pour être sur une orbite parallèle à celle de la lune à 610 kms d’altitude
Compte à rebours lancé, Pilote automatique engagé, moteurs allumés
C’est parti pour 2mn45 d’ascension jusqu’à la séparation du 1er étage
1mn20 FMRS et 7700m – 277m/s
2mn22, décompte FMRS: 32000m à Mach 3.8, ca commence à chauffer
2mn47: séparation
3mn45, l’apoapsis approche les 610 kms
25mn: orbite presque circulaire
25mn21 FMRS: orbite établie. Il reste 1395 DV pour l’injection lunaire, ce qui est plus que suffisant.
RETOUR DU 1ER ETAGE
Retour à 2mn51 vers le 1er étage qui va poursuivre sur sa lancée en prograde
A 6mn14, la vue terrestre montre un point de chute en mer près de la cote ouest de l’Afrique, mais le freinage corrigera cela pour un atterrissage sur terre
A 8mn51 en Retrograde le 1er étage passe 64000m en descente à 1900m/s en accélération
Après avoir déverrouillé le reservoir, premier freinage passant 42000m
Deuxième freinage passant 31000m à 9mn56. le but est de ralentir suffisamment pour éviter de bruler les parachutes
Apres un 3eme et dernier freinage, l’étage passe 13000m en descente et en réduction de vitesse
Apres ouverture des 1er parachutes de freinage en dessouss de 4000m et 424m/s, la vitesse chute rapidement vers 45m/s
Ouverture du 2eme lot de parachutes en dessous de 1000m pour obtenir une vitesse verticale finale de 5.6m/s
A 13mn03 FMRS, atterrissage du 1er étage en Afrique de l’Ouest. il n’y a plus qu’a envoyer un navire le récupérer!
INJECTION LUNAIRE
243Mn47: au milieu du parcours vers la lune
1891mn41 soit un peu plus de 31H après le départ, on approche le Periapsis de 100kms autour de la lune et il reste 700DV pour refermer l’orbite, c’est large
A 37H40mn, le module lunaire termine la mise en orbite
avec un peu moins de 500DV de marge
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 8 mois par Gilflo.
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12 avril 2018 à 19 h 38 min #8020VerthelParticipant
En cette belle journée d’été, trois jeunes apprentis Kerbonautes, deux futurs pilotes et une scientifique, finissent leur stage dans le centre de formation du Centre Spatial.
L’heure est venue pour eux de faire leur dernière mission en simulateur, qui leur permettra de décrocher le tant attendu Brevet de Kerbonaute.
Cette mission simulée doit les poser sur la Mun pour faire toute une série d’expériences scientifiques qu’ils devront ramener sur Kerbin.
La difficulté de la dernière mission avant le Brevet est réputée dans tout le centre de formation. Mais c’est la garantie d’avoir des Kerbonautes parfaitement compétents qui mèneront à bien les futures missions qui leur seront confiées.
Comme pour toute mission qui se respecte, celle-ci commence par un briefing dirigé par Valentina, la célèbre pilote qui fut la première à se poser sur Minmus lors d’un vol épique dans une capsule monoplace. La technologie de l’époque ne permettait pas mieux.
Valentina commence son exposé en présentant la fusée Artemis 5 composée de trois parties principales.
Un <span style= »color: #ff00ff; »>LANCEUR</span>, centré sur le surpuissant moteur RE-M3 « Mainsail », dernier né du bureau d’étude, auquel sont accolées deux paires de propulseurs d’appoint RE-I5 « Skipper » montés en mode « Asperge ». Ce lanceur en 3 sous étages développe dans l’ordre des Delta-V de 934 m/s, 1470 m/s et 1708 m/s, permettant de placer la partie habitée d’Artemis 5 sur orbite à 150 km de Kerbin et d’initier le transfert vers la Mun
Un <span style= »color: #00ff00; »>MODULE DE COMMANDE ET SERVICE</span> (MCS) composé d’une capsule MK1-3 de trois places, protégée par un bouclier thermique, qui accueillera les Kerbonautes jusqu’à la Mun et pour le retour sur Kerbin. Ce module contient la coiffe qui protégera la capsule et le LEM lors du départ de Kerbin et la traversée de l’atmosphère. Le MCS est propulsé par un moteur RE-L10 « Poodle », parfaitement adapté aux manœuvres dans le vide spatial.
Un <span style= »color: #00ccff; »>LEM</span> arrimé au-dessus du MCS qui permettra à une pilote et une scientifique de se poser sur la Mun.
Le LEM d’une masse initiale de 10 443 km est lui aussi composé de 3 parties.
Au sommet, un sous module scientifique (365 kg) composé d’une Baie SC-9001 Science Jr, d’un thermomètre, un Baromètre, un Accéléromètre sismique et une Mystery Goo. La présence d’un scientifique permettra de réinitialiser la Baie et le Goo après stockage de la première série d’expériences dans le module de stockage scientifique. Ainsi, avec un exemplaire de chaque expérience à bord, celles-ci pourront être effectuées deux fois.
La partie centrale (5545 kg) contient le module d’atterrissage MK2, un Volant d’inertie, des batteries, une petite antenne suffisante pour accrocher les satellites relais orbitant autour de la Mun, des supports vitaux pour plusieurs jours, deux panneaux solaires montés sur deux petits réservoirs de Monoergol pour les 4 moteurs RCS.
Cette partie fera l’aller-retour sur la Mun à partir du MCS. Elle utilise 2 moteurs 24-77 « Twitch ».
La partie Atterrissage (4533 kg), avec elle aussi 2 moteurs 24-77 « Twitch » et le carburant nécessaire permettra au LEM de se poser sur les 3 pieds FL-T100, un peu surdimensionnés pour la taille du LEM mais qui évitera un contact entre le sol et le sas ou les réservoirs à l’arrivée au sol.
Pour la descente le LEM utilisera les 4 moteurs 24-77 « Twitch ». Puis la remontée se fera avec seulement 2 moteurs, ce qui est rendu possible par la masse de la partie atterrissage qui restera au sol.
Le choix des moteurs 24-77 « Twitch » qui se fixent latéralement permet l’utilisation de 4 moteurs en descente et 2 en remontée après découplage de la partie Atterrissage.
La quantité de carburant et les Delta-V sont dimensionnés confortablement pour éviter les mauvaises surprises.
Après cette présentation, nos trois apprentis pilotes sont dirigés vers le pas de tir où les attend une réplique fidèle de la fusée Artémis 5. Du moins c’est ce qu’on leur a fait croire.
N’ayant pas de pilotes expérimentés disponibles pour un vol réel, la décision a été prise d’utiliser nos trois apprentis pilotes pour une vraie mission. La légendaire stupidité de certains Kerbals fait que cette supercherie n’a pas été détectée par les victimes d’une forme de bizutage un peu rugueux.
Les voilà donc prêts au décollage, dans une fusée qu’ils devront piloter en mode manuel, aidé simplement du SAS et du RCS, mais sans assistance de direction automatique vers les points cardinaux de la Navball.
Le compte à rebours est lancé. La poussée des moteurs enfonce les apprentis kerbonautes dans leur siège. Leur première réaction est de se dire que les simulateurs ont fait de gros progrès pour restituer de pareilles sensations.
Quelques minutes plus tard, après avoir largué successivement les deux paires de propulseurs d’appoint, et que le pilote ait largué plusieurs centilitres de transpiration pour contrôler la trajectoire, la fusée se place en orbite à 160 km.
La coiffe est larguée et les panneaux solaires sont déployés.
La manœuvre de transfert vers la Mun est parfaitement réalisée par nos apprentis qui déroulent à la perfection ce qu’on leur a appris en formation.
Toujours crédules, ils se croient encore au sol, bien en sécurité dans leur simulateur. Personne au centre de contrôle n’a dévoilé la supercherie.
Le LEM et le MCS s’éloignent de Kerbin après avoir largué la dernière partie du LANCEUR.
Dans un jour la mission Artemis 5 pourra engager la manœuvre pour circulariser son orbite autour de la Mun à 30 km, puis descendra à 15 km.
Une fois en orbite Munaire, Josebance (pilote) et Tousente (scientifique) prennent place dans le module atterrisseur, laissant Alfort dans la capsule du MCS. C’est une équipe entièrement féminine qui ira marcher sur la Mun.
La séparation du LEM et du MCS se passe simplement en découplant les sas qui les relient depuis le départ.
Le LEM se place sur orbite basse 7.5 km de la surface, qui survole la partie nord du Cratère Est, zone raisonnablement plane choisie pour l’atterrissage.
Après une orbite passée à vérifier les checklists d’atterrissage et le bon fonctionnement des expériences scientifiques, le LEM commence sa descente.
Celle-ci se déroule bien dans ses deux premiers tiers.
Sur le dernier tiers, c’est un peu plus compliqué. Maintenir la position rétrograde du SAS qui se déplace rapidement à mesure de la décélération et de l’annulation de la vitesse horizontale est assez délicat.
Une dernière poussée un peu tardive induit une arrivée au sol à environ 4 ou 5 m/s, entrainant deux rebonds successifs. Les amortisseurs des 3 pieds sont très efficaces pour absorber la vitesse d’impact mais accentuent les rebonds. Heureusement, le pilote arrive à maintenir l’orientation globalement verticale du LEM permettant d’éviter un basculement fatal du LEM.
Une vigoureuse poussée verticale du RCS sur le second rebond permet de plaquer le LEM au sol et de finaliser l’atterrissage.
Tout ceci s’est passé très vite et aucune photo n’immortalise cet atterrissage acrobatique.
Un grand silence s’impose dans le Centre de Contrôle sur Kerbin, quand tout le monde comprend que le bizutage a failli se terminer tragiquement.
Une fois au sol, et après avoir vérifié que tous les composants du LEM sont dans un état nominal, le pilote procède au transfert de carburant dans le réservoir du module de remontée qui se retrouve plein. Le reliquat restera sur place.
Après des débats enflammés au Centre de Contrôle, la décision est confirmée d’informer l’équipage qu’ils ne sont pas en simulation mais vraiment sur la Mun.
C’était prévu dès l’origine. Mais suite au presque crash lors de l’atterrissage la cellule psychologique du centre spatial préférait annuler l’annonce et la sortie en EVA que devaient faire l’équipage une fois informés de leur localisation réelle, de peur que le choc de l’annonce n’entraine un traumatisme irréversible.
Finalement Valentina et Jebadiah ont insisté sur le fait que l’équipage méritait d’avoir leur nom gravé sur le mur des Kerbonautes ayant foulé le sol d’un autre corps stellaire.
C’est ainsi qu’après avoir réalisé la première série d’expérience et stocké les résultats dans le module dédié, nos deux apprentis plantent chacun un drapeau sur le sol Munaire, font leur rapport en EVA et récoltent des échantillons minéraux.
Tousente, la scientifique, réinitialise les deux modules qui le nécessitent.
Il est temps pour l’équipage de remonter dans le LEM
Quelques dizaines de minutes de repos, le temps que le MCS toujours en orbite à 15 km les survole et c’est le signal du départ.
Le découpleur qui sépare l’atterrisseur du module de remonté est déclenché et les deux moteurs restants sont relancés. La séparation se fait en douceur.
Puis le LEM commence son ascension vers l’orbite et le MCS qui l’attend 15 km plus haut.
Deux orbites plus tard, c’est le rendez-vous entre le LEM et le MCS.
Pour première partie de la mission, le LEM était arrimé au MSC par le sas situé en bas de la partie Atterrisseur. Ce sas étant de fait resté à la surface de la MUN, l’accostage se fait à l’aide du second sas placé dans la partie supérieure du sous module scientifique.
Le carburant restant dans le LEM est transféré dans le MCS après que l’équipage se soit réuni dans la capsule de retour.
Comme prévu dans le déroulé de la mission Artemis 5, le LEM va être découplé pour garder le module scientifique accroché à la capsule de retour, pour ramener les expériences sur Kerbin.
Deux rapports en EVA et deux prélèvements de surface ont été effectués. Un de chaque sont stockés dans le module de stockage des expériences, les deux autres restent dans le module habitable de l’atterrisseur. Il est impossible de les faire passer de ce module vers la capsule de retour.
Peut-être qu’une mission ultérieure atteindre la LEM abandonné en orbite basse de la Mun et pourra récupérer ces données. En attendant elles tourneront autour de la Mun après la séparation.
La manœuvre de retour vers Kerbin est calculée pour atteindre une orbite basse aux alentours de 90 km.
Cette orbite sera circularisée pour ne pas faire une rentrée directe à grande vitesse dans l’atmosphère. Suffisamment de carburant avait été prévu pour finir la mission sur une rentrée douce. L’objectif est d’atterrir à proximité du centre spatial, ce qui sera l’aboutissement pour les pilotes et validera en beauté leur Brevet officiel de Kerbonaute.
La Capsule de commande est découplée du reste du module de service, parée à traverser l’atmosphère de Kerbin avec l’équipage intact et les précieux résultats des expériences.
L’arrivée sur le centre spatial se passe sans problèmes.
Sur l’insistance de la gente féminine présente dans la capsule, Alfort le pilote du MCS vise avec succès la plage qui borde le centre spatial.
La mission est un succès complet qui rapporte 446.9 points de science et permet à l’équipage d’obtenir sa première étoile en même temps que son Brevet, ce qui est une première dans l’histoire du centre spatial.
Mods utilisés ayant eu une utilité pour la mission :
ConfigurableContainers :
Pratique pour changer le type de carburant dans les réservoirs. Notamment utilisé pour mettre du Monoergol dans les mini réservoirs situés sous les 4 panneaux solaires.FuelTanksPlus :
Ajoute divers modèles de réservoirsManeuverNodeEvolved :
Excellentissime mod pour ajuster finement les manœuvres par incréments paramétrables sur les 3 axes de manœuvre et le positionnement temporel du nœud de manœuvre.NavBallDockingAlignmentIndicatorCE :
Ajoute un cercle rouge sur la navball qui apparait quand on sélectionne le sas d’amarrage de la destination en tant que cible. Très pratique visuellement.Graphics_Enhancements_Assembly-6.9.06beta :
Pour les améliorations visuelles sur Kerbin et les graphismes des flammes des moteurs.Trajectories
Utilisé 2 fois.
La première pour positionner le nœud de manœuvre de descente sur la Mun et viser une zone plane du Cratère Est.
Puis au retour pour la manœuvre avant rentrée dans l’atmosphère de Kerbin pour viser l’arrivée proche du Centre Spatial. Il a fallu décaler le marqueur d’arrivée au niveau des iles à l’est du centre pour arriver sur le centre. J’ai l’impression que ça anticipe l’effet du découplage de la partie propulsion de la capsule de rentrée. En mode rétrograde, ce découplage ralentit un peu la capsule vers l’ouest et décale le point d’arrivée vers l’ouest.TacLifeSupport : J’avais ce mod dans la partie en mode science utilisée pour le défi. Ca rajoute un peu de réalisme mais sans conséquence sur la mission. Sans surpoids notable, mon équipage de 3 personnes avait une autonomie d’un mois, ce qui est ultra confortable. En pratique, j’utilise maintenant la même fusée pour aller sur Minmus, l’autonomie est là aussi suffisante. Dans ce cas il ne faut pas rater la manœuvre de retour car les réserves ne permettent pas une orbite retour complète de Kerbin proche de l’orbite de Minmus.
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12 avril 2018 à 22 h 25 min #8021LeMecSansPseudo
J’ai fais une mission qui respecte toute les règles ci-dessus mais je ne l’ai pas mise sur le forum, je l’ai montrée sur le serveur discord de Stardust donc si quelqu’un est interesser qu’il vienne regarder et si trop peut de personne regarde sur discord je prendrais le temps un week-end d’en faire un dossier entier (pour m’entrainer pour le prochain challenge)
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13 avril 2018 à 3 h 39 min #8022yexankParticipant
Tellement d’images de SSRSS récemment que j’ai eu envie de m’y essayer… cette mission sera ma toute première mission SSRSS. Aucun autre mod utilisé (hors mods graphique), et un seul chargement rapide (vers la fin, vous verrez ^^).
J’ai oublié de modifier le fichier config des surfaces pour les passer en HD, donc la lune est un peu dégueulasse de près.Je suis parti « à la rache », sans regarder les différences d’inclinaisons (ni quoi que ce soit d’ailleurs ^^), et sans faire aucun tests… ce qui explique tout les problèmes que j’ai eu 😎 Mais on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs (et en se moment j’aime bien le coté « démerde toi » plutôt que de recommencer à chaque erreur… en vrai le retour en arrière n’existe pas 😈 )
Je joue en sandbox, donc je suis hors competition dans tout les cas, mais j’ai tout de même respecter tout les critères, y compris les critères scientifiques (deux exemplaires de chaque modules, je ramène la science avec moi,…)
Bref: cette tentative sera sous forme de BD (très simpliste, c’est pas une épopée), parce-que pourquoi pas 😛
J’ai essayé au maximum de laisser le temps et les reserves de carburants visible afin de vous permettre d’étudier cette mission avec precision si vous le souhaitez.
On va pas se mentir, j’ai surement mis autant de temps à réaliser la mini-BD qu’à crafter et tenter cette mission, donc j’espère que ça vous ira ^^En bonus, un petit GIF sur l’exploration d’un cratere:
Si vous n’arrivez pas à voir les images (réseau en carton ou images supprimées), voici un backup en JPEG dégelasse sur IMGUR.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 7 mois par yexank.
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13 avril 2018 à 7 h 58 min #8027VerthelParticipant
Belle tentative !
Dommage de ne pas avoir assez de carburant pour le retour.
Ton format BD est agréable à lire. C’est du boulot mais ça passe bien.
Dans ta fusée, tu as mis un grand nombre de stockage d’expérience. Y a-t-il une raison? Normalement avec 2 on peut tout récupérer.
Comme tu es en mode Bac à Sable, ça n’a pas d’impact sur la science, juste sur la masse. La science était un paramètre mais non bloquant. Là on voit bien que ta mission aurait réussi à rapporter quelques centaines de points de science sur Terre, donc c’est comme si tu l’avais fait en mode science.Pour atteindre la Lune dans SSRSS, le plus économique est d’attendre d’avoir une inclinaison faible au départ par rapport à la Lune. C’est un coup à prendre mais ça marche bien.
Tu verras que le mode SSRSS est addictif quand on s’y plonge. Il y a un certain charme à jouer avec les planètes qu’on connait. Un passage vers les anneaux de Saturne ou un survol de Io avec Jupiter à proximité est plus magique qu’aller à Jool.
Tu parles de paramétrage des textures HD pour la Lune. Si tu sais comment les améliorer ça m’intéresse aussi pour ma partie en SSRSS. A la base elles sont très moche au sol et de près.
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13 avril 2018 à 10 h 04 min #8028GilfloParticipant
Belle aventure Verthel. la fusée bleue est superbe, je suppose que c’est du 1.4.X…..
Alunissage
Orbite lunaire à 100 kms pour le module de retour, la séparation est effectuée après le transfert d’un pilote et d’un scientifique dans le LEM. Puis le LEM commence le freinage
Le pilote vise la zone, au nord du LEM, la tache noire sur la lune, autour de la quelle le terrain semble moins accidenté, mais c’est une vue à 95 kms d’altitude
vue de la trajectoire effective
Passant 46000m en descente
Finalement en dessous de 10000m on s’aperçoit que ce n’est que cratères et grosses collines, sur une zone montagneuse, mais heureusement il semble que le terrain juste en dessous soit assez plat.
A 4500m, mais 1500m sol, le sol est à 3000m d’altitude, le taux de chute est stable à 30m/s.
Il reste largement plus de la moitié du carburant, la mission semble bien engagée
A 100m du toucher, nous sommes bien positionnés, descente à 5.4m/s
Alunissage parfait a la main
Descente de l’échelle et premiers pas sur la lune
On plante le drapeau !!
Quelques experiences, mais qui ne rapportent rien en mode « Bac à sable »….
Décollage et retour en orbite
Puis c’est le moment du décollage, le train d’atterrissage avec le moteur et le reservoir d’alunissage restant sur place comme prévu
Le pilote soigne la trajectoire pour se retrouver dans le meme plan que le module retour
On a un peu dépassé les 100kms, mais le pilote circularise pour se positionner à l’intérieur de l’orbite du module retour à 91 kms
Et voila le travail! Avec le carburant qui reste on aurait pu remonter avec l’étage du LEM resté sur la lune
Calcul de la manœuvre de rapprochement, à la main également
Le pilote va ensuite utiliser le DPAI, Docking port alignement indicator, qui est un instrument bien pratique, surtout quand on doit se docker en se rapprochant dans le noir, exactement comme dans le cas present ou les 2 vaisseau n’arrivaient pas a se voir avant d’être tres proches l’un de l’autre
Le DPAI fonctionne comme un directeur de vol. Après avoir sélectionné le port « Target » sur le vaisseau cible ou l’on veut se docker, il suffit d’utiliser les touches de translation RCS en « tirant » le petit rond jaune vers les barres vertes, pour finir par centrer le tout. L’indicateur donne la vitesse relative de rapprochement, les distances et la position du vaisseau en rapprochement qui est symbolisé par le rond orange. Si on a également pris soin de stabiliser le vaisseau cible en mode « Target in », donc ici en désignant au module retour le LEM comme Cible, le Docking se fait comme un ILS sur un avion!
Retour vers la terre
Apres le docking, les pilotes calculent une trajectoire retour
Puis on abandonne le LEM
Un periapsis à 61 kms permet de faire fondre le docking port situé sur le bouclier thermique et d’ouvrir rapidement ce dernier. La manoeuvre avec quelques passages supplémentaires diminue rapidement l’apoapsis sans dépenser une goutte de carburant. on a dépensé à peine 300DV sur les 850 prévus, on aurait pu prendre un reservoir 2 fois plus petit et le ramener avec nous……
Puis c’est le retour vers Cap Canaveral en espérant se poser aussi près que possible, mais dans la nuit…
Ouverture des 2 parachutes à 1800m
Posé dans la mer au bord du rivage, Waypoint management nous dis qu’on est à 12 km de la base. Le bouclier sert de « Canopy » géant!
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 7 mois par Gilflo.
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13 avril 2018 à 11 h 17 min #8032yexankParticipant
‘Lunar II’ est un succès total 😎
J’ai effectué le challenge tout en sauvant ‘Lunar I’, les deux modules ont atterris (presque) cote à cote en Australie après une pèrieuse mission qui m’a fait suer à grosses gouttes. Une fois que le LEM de ‘Lunar II’ se soit de nouveau accroché à son orbiteur, J’ai utilisé le restant de RCS de ‘Lunar I’ pour m’approcher au maximum de son collègue (10min à maintenir la touche, avant de me foirer et de repartir pour 10min de crampe en plus ). J’ai ensuite réussir à me docker en utilisant seulement une dizaine de litre de carburant, à la suite de micro-manœuvres successive, utilisant le RCS quand le timing le permettait. La BD arrive (surement) bientôt.Si j’ai mis autant de stock d’experience, c’est que je ne savait pas combien je pouvez stocker d’experiences dedans (je joue jamais en mode science) donc j’ai prévu large, mais sur ‘Lunar II’ j’en est mis que deux sur le LEM et quatre sur la capsule de retour, effectivement ça suffit largement 😎
Rien a voir, mais pour améliorer un peu les textures de sol, il faut télécharger le fichier config amélioré, comme indiqué sur la page officiel du mod (cliquer sur les images dans l’archive pour voir les explications).J’en profite pour donner mon avis sur les construction précédente, que j’avais pas voulut trop regarder pour ne pas m’influencer avant d’avoir un design fonctionnel et qui me plait (il n’a plus rien a voir, au passage ^^):
– LeChimiste: Un design original, j’ai hate de le voir en action. Par contre, il va te falloir un lanceur surpuissant je pense ^^
– Gilflo: De gros post bien détaillé déjà, c’est cool 🙂 Le lanceur est titanesque mais vraiment jolie, par contre, pourquoi avoir mis les ailettes sur le second étage, ça me semble être un poids mort. Le LEM est également très sympathique, même si j’avoue que je trouve ça un peu moyen d’avoir branché le plus petit reservoir existant sur un gros reservoir, pour moi le principe d’un LEM c’est d’avoir deux étages independents (au minima: si tu met une sonde sur l’étage d’atterrissage il doit avoir suffisamment de carburant pour d’atterrir), mais ce n’est pas dans les régles donc bon 😀 Le mod que tu propose, pourquoi pas, mais la navball remplie la même fonction (aligner le prograde sur le target). Pour finir, je pense que l’utilisation d’un bouclier 10m est inutile (mais il est a peine plus lourd que les autres, ce n’est donc pas un gros problème)
– Verthel: Un post encore plus détaillé 😎 Tres sympa ce LEM, l »utilisation des propulseurs latéraux est bien trouvé, ça rend le tout très compact. J’ai faillit utiliser les mêmes, mais leur ISP dans le vide est assez faible, ce qui m’a fait changé d’avis. Les ailettes sont être traîné un long moment, mais bon c’est pas le second etage donc ça montre juste que tu as été bien économe sur le lancement 😀 . Malin cette recuperation du petit module « science » sans avoir à se trainer le LEM. L’utilisation des plus petit pieds est de toute façon ultra limité, il sont minuscule, en plus ils sont instable, donc je ne m’en sert plus.
EDIT: Je post la BD ici pour éviter les double posts 😎
- Cette réponse a été modifiée le il y a 6 années et 7 mois par yexank. Raison: Ajout de la BD
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