Stratolauncher en RSS
- Ce sujet contient 7 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Gilflo, le il y a 5 années et 1 mois. This post has been viewed 811 times
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28 septembre 2019 à 0 h 22 min #13512GilfloParticipant
Salut à tous
Après voir participé au Challenge Apollo en RSS, je continue dans cette voie, RSS sur notre bonne vieille terre, car j’avoue que Kerbin me lasse un peu
Je me suis donc fixé un challenge:
-Créer un Stratolauncher permettant d’envoyer en orbite autour de la terre un vaisseau sous forme de Spaceplane dont la mission sera de rejoindre la Lune.
-Ce Spaceplane, lunaire dans un premier temps, répond au cahier des charges suivant:
+ Le cockpit doit pouvoir s’en détacher, aller se poser sur la lune, puis revenir se docker au Spaceplane
+ Ensuite le Spaceplane doit être capable de revenir sur Terre en autonome
La vitesse de libération est de 7600m/s, autant dire que les moteurs Stock ne répondent pas à l’appel d’offre pour équiper un Stratolauncher et un spaceplane lunaire en RSS. Il faudrait fabriquer un truc monstrueux et pas très réaliste
Voici donc le Raptor qui utilise 4 moteurs Hybrides du mode OPT. Il pèse environ 130T
Le cockipt et son étage de descente s’en détachent pour. voila ce que ca donnera au sol sur la lune si ca marche!
Ensuite le cockpit remonte seul et se docker au corps du raptor et nous obtenons un Raptor un peu plus court pour le retour
Pour lancer cela, après plusieurs essais fastidieux, j’ai créé le Raptor Stratolauncher qui utilise 6 moteurs Turbo Ramjet OPT au Liquid Fuel. les moteurs fonctionnent jusqu’à 47000m et il faut un attelage de 2 stratos encadrant le Raptor pour larguer ce dernier dans la haute atmosphère
Les 12 moteurs des 2 Stratos et les 4 moteurs hybrides du Raptor, alimentés par les réservoirs des Stratos, fonctionnent pendant la montée.
Ceux du Raptor s’éteignent bien avant ceux des Stratos. Je joue sur le plein de carburant pour obtenir un TWR le plus important possible.
Le mode FMRS permet le largage la montée en orbite du Raptor, puis la récupération des 2 Stratolaunchers qui se séparent au lâcher.
La meilleure stratégie pour arriver en orbite avec un maximum de DV semble être d’accélérer 5000m en dessous du plafond des Stratos, on atteint plus de 4000m/s soit mach 15, puis sur l’élan de monter et larguer la Raptor à l’extinction des moteurs des 2 stratos.
C’est après la séparation que ca devient assez « touchy » car les Stratos passent en vol suborbital, ils sont très proches et ne sont plus très contrôlables.
Si besoin, leur design leur permet d’amerrir parfaitement
Pour que chaque avion seul vole correctement dans tout le domaine de vol et que l’ensemble attaché vole correctement également, les compromis de réglages sont assez complexes.
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 années et 2 mois par Gilflo.
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29 septembre 2019 à 15 h 48 min #13518DakitessAdmin KSC
Je suis curieux de voir ce que ça va donner ! Je ne suis pas fan des ailes que ne sont liées que par l’arrière, mais c’est original.
Par contre c’est un tapis de RTG sur le dos ? C’est mega pas aérodynamique ça ! 😮
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29 septembre 2019 à 15 h 54 min #13519GilfloParticipant
<p style= »text-align: left; »>Les quatres moteurs Hybrides OPT montés sur le Raptor sont super interessant au niveau LFO mais le prix a payer c’est 50 unités electriques par seconde, donc si on veut que ca fonctionne, meme sams soleil, il faut tout ca de RTG NearFutureElectrical ou le double en format stock, donc j’essaie d’en faire de la deco……</p>
et pourquoi pas fan des ailes fixées sur l’arrière? -
29 septembre 2019 à 16 h 03 min #13520GilfloParticipant
Le largage fonctionne bien, le point faible c’est le controle apres la séparation des 2 Strato. Selon comment on s’y prends on economise jusqu’a 2000DV sur la montée en orbite, ce qui est loin d’etre negligeable, mais ce faisant on s’eloigne relativement loin de la base et le retour ne peut s’envisager qu’en repassant en vol sub orbital ou en amerrissant….
L’autre idée pas encore explorée est de les relier ensemble pour en faire 1 seul, mais alors il faut un plate forme centrale pour fixer le Raptor.
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1 octobre 2019 à 18 h 15 min #13543DakitessAdmin KSC
Mécaniquement, ça me parait être un point sacrament faible menant à l’arrachement, l’attache par l’arrière et niveau design je suis pas convaincu, mais c’est à la fois subjectif et un detail 🙂
Pour les RTG par contre, autant les placer dans une soute / baie nan ? Là tu te manges une trainee de ouf à priori !
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3 octobre 2019 à 21 h 29 min #13549GilfloParticipant
Les dernières modifications de mon concept Stratolauncher en RSS
-Les 2 Stratolaunchers sont devenus un seul et meme avion, le StratoRaptor 585 (585T de liquid fuel = en gros 73,5% du plein)
Des derives agrandies ont été rajouté pour la stabilité en lacet a très haute altitude et vitesse (entre 4000 et 5000m/s, plus de Mach 15 au dessus de 45000m)
Des grosses moustaches permettent une meilleure manoeuvrabilité
Le Raptor est docké au centre et ses moteurs reliés aux réservoir du Stratolauncher pour alimenter ses 4 moteurs en mode airBreathing
L’ensemble des voilures et des gouvernes permet au total de monter jusqu’au plafond du Stratoraptor 49000m et d’atteindre plus de 4500m/s
A partir du moment ou les moteurs s’éteignent je passe les moteur du Raptor en mode closedCycle et je le largue
Le Raptor a subi quelques modifications: Raptor 4445 (44T LF et 45 OXY)
-Augmentation du reservoir de descente du module de descente (cockpit +réseervoir de descente) qui était insuffisant et plus gros moteur
-Une baie pour les RTG
-Un reservoir supplémentaire de 2m
-Des moustaches pour la manoeuvrabilité a faible masse
La séparation de l’étage de descente et du cockpit avec le core du Raptor fonctionne correctement ainsi que le docking du cockpit, ce qui est très interessant par ailleurs car il faut non seulement l’aligner avec le Core mais aussi l’aligner angulairement de façon correcte pour que le cockpit retrouve sa place initiale
Enfin les configurations de montée ont été testées pour acquérir le plafond et la vitesse de largage en s’éloignant le moins possible de la base
La meilleure façon correspond bien au burn unique façon PrimerVector de RSS/RO: Une fois au dessus de 15000m et mach 2.5, rendre la main pour accélérer en restant toujours le plus près possible de l’apoapsis que l’on est en train de monter
L’éloignement obtenu est un peu limite pour le carburant embarqué car la finale s’est fini en plané
Et d’ailleurs je ne m’en était pas aperçu, mais on a cassé une aile au largage (voir la photo plus haut) et l’ensemble est revenu sans problème!!
Largage assez délicat, il faut bien mettre le Strato à plat commandes au neutre pour que tout se passe bien…….
- Cette réponse a été modifiée le il y a 5 années et 2 mois par Gilflo.
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4 octobre 2019 à 23 h 43 min #13557GilfloParticipant
La technique du launch progresse et je pense qu’elle est au point
Le retour au terrain est toujours limite et à Mach 15 le demi tour le plus rapide et le plus économe est une boucle inversée moteurs à fond a partir de 30 kms, remontée sur le dos vers 15000m, puis 1/2 tonneau pour repasser sur le ventre, ensuite 2 montées courtes en suborbital avant la descente finale
Faire la piste n ‘est pas un jeu d’enfant, beaucoup d’inertie et commandes très réactives, meme en mode précision, quand les reservoirs sont presque vides. il faudrait peut être que je diminue leur débattement sur le retour…Donc 2 fois sur 3 je pose dans l’herbe…
Prochain épisode: départ pour la lune
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21 octobre 2019 à 23 h 36 min #13603GilfloParticipant
A présent voici le StratoMaX dont la mission est de lancer une charge utile de 315T a 48500m aux environ de 5500m/s soit plus de Mach 17
Le StratoMaX: Nacelle centrale à cockpit OPT MK2 entourée de 2 « Drones » symétriques, plus de 1600T et 20 moteurs OPT J61 TurboRamjet « Starwaster »de 2m50, capable de developper un TWR >3 au plafond de 48500m
Voila le monstre qui fonctionne au LF
Vue arrière sur les moteurs
Beaucoup de plans horizontaux, d’ailes, de winglet et de plans verticaux qui permettent un pilotage fin au plafond du monstre car le largage
de la charge utile se fait en palier avec une verticale speed la plus faible possible, ce qui a 5500m/s est très pointu
Voici la charge utile; une navette martienne, Martian Shuttle, propulsé par 2 rockets largables, qui permettent une fois la navette larguée de la monter en orbite et d’atteindre la vitesse de libération de 7500m/s, environ Mach 25 avec 16000DV disponibles. Les 4 moteurs de la navettes sont allumés pendant la montée au plafond du Stratolauncher aidant à la poussée et puisant le LF dans les réservoirs de ce dernier. Ils s’éteignent tous seul bien avant d’atteindre les 48500m.
Au largage ils sont rallumés en mode Closed Cycle et travaillent avec les moteurs RS 25 de RealScaleBoosters(réplique des moteurs du Space Shuttle) en puisant dans les reservoirs largables inférieurs, ce qui laisse intact au maximum l’autonomie du Martian Shuttle.
La Navette Martienne possède un Rover pour 2 pilotes. Il se trouve dans la soute et il est largué pendant l’approche du sol martien, faite en retrograde. Le Rover descend automatiquement sous parachute. La navette sort ses parachutes à 25000m après avoir freiné à moins de 800m/s, puis termine l’approche à l’aide des parachutes et d’un peu de poussée, s’appuyant au sol sur l’arrière à l’aide de 2 Landing Struts qui lui donnent un appui permettant à l’avant de basculer au sol au moment du toucher et de se retrouver au sol sur ses trains d’atterrissage. Très « touchy » comme manoeuvre….
Vue sur 3/4 arrière des 2 gros moteurs fusée. Ce sont les seuls éléments abandonnés et qui ne reviennent pas sur Terre.
Le total au décollage: la Navette Martienne est montée sur le corps central du Stratomax. Les 2 réservoirs largables et la Navette sont reliés par un segment central. 2 « staging » docking ports à chaque bout permettent la séparation du StratoMaX, puis ensuite celle des réservoirs largables
Une fois la Navette en orbite, le StratoMaX qui, depuis Kourou, a longé la cote sud américaine pour larguer dans un plan correct, a tout juste assez de carburant pour rejoindre la cote et se poser dans la pampa, puisqu’il n’est pas possible d’avoir plusieurs bases. Il peut aussi amerrir sans problème.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 5 années et 1 mois par Gilflo.
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