Objectif RSS : Mercure
- Ce sujet contient 8 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Gilflo, le il y a 4 années et 11 mois. This post has been viewed 2062 times
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18 novembre 2019 à 0 h 05 min #14016GilfloParticipant
Mercure
26000DV aller retour depuis l’orbite basse autour de la Terre jusqu’à atterrissage. Pas d’atmosphère
Pour y aller j’ai crée le Mercury Shuttle qui est une version plus grosse du Martian Shuttle
La soute emmène un rover, le meme que pour Mars, à la difference près qu’il atterrira avec le Shuttle, puis descendra directement de la soute au sol.
Dockée au dessus du cockpit, Mercury emmène une sonde de cartographie de la planète.
Voici l’arrière du Shuttle qui contient une soute non préssurisée: voir les Explications
-Une autre version permet l’emport dans cette soute d’un petit atterrisseur automatique pour un scientifique: l’engin a suffisamment d’autonomie pour se poser sur Pluton et revenir ensuite se docker dans la soute arrière. En option, on peut adjoindre le Rover équipé de moteurs éjectables qui descendra sur la planète, ou bien remplacer la soute par un reservoir supplémentaire et dans ce cas, pas de rover..
Le Shuttle, vu du dessus.
Grace à la Station spatiale en Orbite, on peut le Stratolauncher avec seulement 20% de son carburant à la masse de 189T, ce qui permet l’emploi d’un plus petit Stratolauncher. Il va ensuite faire le plein en se dockant sur l’ISS.
La suite du Stratolaunch ne nécessite pas de boosters éjectable pour le mettre en orbite, comme je l’avais fait pour le Martian Shuttle car il est largué à faible masse et monte en orbite avec un gros TWR
Avantage aussi pour le retour ou le docking sur l’ISS permet de mettre le mini carburant et un peu plus de LF pour le vol atmosphérique. Pas besoin de s’emmerder à faire de l’aerobraking….Que du bon!
L’avion se posera à moins de 190T, ce qui ne nécessite pas l’adjonction d’un gros train d’atterrissage.
Une fois chargé, il pèsera 459T avec 27266 DV D’autonomie et un TWR initial de 0,62
Le posé sur Mercure se fera environ à la moitié du poids car on aura délesté au moins 65% du carburant et la sonde…Hé oui, l’emport de carburant coute cher ….en carburant..
La sonde de plus près
Le rover
Et l’atterrisseur, autonomie VAC 3450: il tient largement dans la soute arrière et peut être équipé d’un reservoir sup si besoin
Poids: 2,9T avec des instruments scientifiques, moteur « lightbulb » également, ce qui explique son autonomie, mais emport obligatoire de 2 gros radiateurs
- Ce sujet a été modifié le il y a 5 années par Gilflo.
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27 novembre 2019 à 13 h 23 min #14088GilfloParticipant
Pour le décollage du launcher avec la navette, j’ai construit 2 autres pistes, dont 1 parallèle.
En fait sur la piste RSS, il semble y avoir des joints de dilatation et voici ce qui se passe quand on roule dessus! étonnant!
On a donc décollé de la parallèle en prenant bien soin lors des virages à 90° de ne pas rouler sur les lampes d’entrée de piste qui ne pardonnent pas pour le trains…
avec ensuite le cap qui va bien pour être dans le plan de l’ISS
Largage à 48500m et plus de 5000m/s
et montée sans problème en orbite pour aller rejoindre l’ISS
mais comme je ne suis pas très doué pour les calculs d’interception, il a fallu plusieurs jours pour accéder au docking
Voila la station et la navette ne font plus qu’un
Pendant ce temps le StrtoMax essaie de rejoindre la base, mais se pose finalement en mer a cours de carburant à 15 kms seulement des pistes
Et maintenant se pose le problème d’autonomie pour rejoindre Mercure car comme vous me l’avez fait remarquer mes calculs de DV en RSS, notamment pour Mercure étaient faux, j’avais oublié les 3210 DV nécessaires pour quitter l’influence de la Terre.
L’option est donc de repousser la station en orbite circulaire à la limite du SOI, ce qui me fera économiser 2 X 3210 Dv, et là Mercure est atteignable.
ainsi que tous les satellites de Saturn et peut être Jupiter
Pour cela il va falloir créer un pusher capable de mettre en orbite les 1000 et qqes T de la station spatiale.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 5 années par Gilflo.
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28 novembre 2019 à 20 h 26 min #14091GilfloParticipant
Une autre option que j’avais oubliée et qui est plus interessante est la suivante
-Emporter dans les entrailles du Mercury shuttle un Lander capable de se poser sur Mercure depuis l’orbite basse puis de remonter se docker à la navette: Et voici le Mercury Lander
Lander automatique sur la base d’une capsule pour un scientifique avec les instruments qui vont bien pour le experiences et une boite pour les conserver.
A ce propos un mot sur le moteur enchassé dans les réservoirs toriques
Pour naviguer dans RSS sans RO ou SMURF qui compliquent énormément la donne sur les moteurs dispos et les carburants associés, il existe quelques mods qui présentent des moteurs ayant une bien meilleur rapport puissance/ ISP que les moteurs Stock avec quelques inconvénients à la clef (plus lourds, nécessite de radiateurs ou d’énergie électrique). Ils peuvent être qualifiés de « triche » sur Stock car ils rendent les expéditions trop faciles.
ils trouvent toute leur utilité en RSS et le Lightbulb du vieux mod « Atomic engines » est un de ceux là: un moteur nucléaire qui chauffe beaucoup, d’ou adjonction de radiateurs obligatoire. En prime on a du gimball! donc malgré ses inconvénients de poids et de chauffe, c’est un must!
Je l’ai adapté sur un Mercury Rover qui tient également dans une soute du Mercury Shuttle et qui sera balancé pour atterrir sur Mercure également. Rover autonome qu’il faudra essayer de faire atterrir pas trop loin du Lander, ce qui n’est pas gagné
Pour le Rover électrique j’emploi également des RTG, surdimensionnés sur stock mais parfaitement adaptés à RSS: vous les voyez sur la photo
tout cela est bien évidemment ejectable une fois le Rover au sol.
Voici le Mercury shuttle qui est une extension du Martian shuttle, plus gros, plus long, meme design car il permet toujours une pilotabilité optimum dans tout le domaine de vol du sol à l’orbite, à vide ou à pleine charge.
Dans la soute avant, le Rover. Sur le cockpit le satellite de radiographie de Mercure.
Dans la premiere soute arrière (toujours fermée, mais ouverte pour les besoins de comprehension) , derrière les 3 réservoirs centraux se trouvent 2 réservoirs cylindriques au bout desquels est docké le Mercury Lander dans la 2eme soute. Autour du réservoir central, on aperçoit des réservoirs de monoprop, nécessaires au docking. Dans cette soute se trouvent également une 20 aines de RTG, nécessaires au fonctionnement des Moteurs OPT Hybrides J81 dans le vide. Tout cela sans clipping, ca tient sans problème dans le volume de la soute.
L’ensemble pèsera 508T à la sortie de la station service de l’ISS et développera 26635 DV nécessaire à l’aller retour en orbite basse de Mercure, sans trop de marge. on pourra peut être gratter pour le retour plus léger car sans le Rover ni le Satelitte et avec le Lander presque vide de carburant.
Vue de l’arrière avec les 2 soutes ouvertes pour la compréhension. elles ne sont pas destinées à être ouverte car techniquement ce serait impossible
Pour le Stratolaunch, le Mercury Shuttle sera chargé à 15% de son carburant et pèsera moins de 200T.
Une autre digression sur les moteurs du mod OPT: ils sont très avantageux en stock mais parfaitement adapté en RSS
Voici une vue du Mercury shuttle de l’arrière, les 2 soutes arrière fermées: on ne les ouvre jamais et l’intérieur n’est pas pressurisé.
Vous voyez à gauche le Moteur hHybride J81 fonctionnant sous vide en LFO avec une très bonne ISP, un TWR moyen et une obligation d’énergie électrique, d’ou les RTG
Nous voila donc paré pour Mercure. Il ne reste plus qu’a renvoyer sur Terre la navette dockée actuellement à l’ISS et à y envoyer celle ci pour faire le plein avant le départ
- Cette réponse a été modifiée le il y a 5 années par Gilflo.
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5 décembre 2019 à 19 h 31 min #14128GilfloParticipant
Retour de la premiere Navette mercurielle qui a « les pattes trop courtes » pour faire voyage.
Eloignement de l’ISS pour un freinage en retrograde
Rentrée atmosphérique sans problème
Approche sur la grande piste perpendiculaire
Et atterrissage
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5 décembre 2019 à 20 h 29 min #14129GilfloParticipant
Lancement de la nouvelle Navette Mercury avec son Lander et son rover intégrés en soute.
Petite vidéo HD de 2 mn qui résume le lancement et l’amerrissage du Stratolauncher à l’issue
Puis docking de la navette sur la Station spatiale: video HD de 50s
une video intégrée mais pas l’autre!!!!!
- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 12 mois par Gilflo.
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6 décembre 2019 à 13 h 44 min #14149GilfloParticipant
Petit album PDF illustré sur la Partie 1 de la Mission Mercury
https://www.dropbox.com/s/186gcjveu47jt75/Mission%20Mercury%20Part%201.pdf?dl=0
Vous pouvez aussi avoir l’histoire en Slides
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- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 12 mois par Gilflo.
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9 décembre 2019 à 15 h 11 min #14192GilfloParticipant
Apres essai de transfert vers Mercure, je m’aperçois que les calculs des différentes DV Map en RSS que j’ai récupérées et les calculs que j’ai inséré sur mon tableur Excel regroupant les infos sur les planètes du système solaire sont largement sous estimés sauf pour la Lune, Mars et Pluton.
En utilisant ce calculateur
je m’aperçois que les calcul de MechJeb qui prévoyaient entre 15 et 16000 DV pour rejoindre l’orbite basse de Mercure ne sont pas si faux que cela et correspondent pas mal à ce que je trouve dans le calculateur.
En conséquence l’aller retour Mercure n’est pas possible avec la Navette mercury qui ne dispose que de 27000DV! Il en manque bien 7000, sans compter le retour vers l’orbite Terrestre sur laquelle nous arrivons à une vitesse trop importante pour un aerofreinage sans dégâts!
Plus de DV, c’est un meme modele de Navette encore plus gros, il va donc falloir sacrifier le rover, pas grave,…. Une grosse station service en limite de SOI terrestre est elle une solution pour le freinage du retour ?
bon tout ca c’est loin d’être gagné!!!!
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11 décembre 2019 à 10 h 13 min #14196DakitessAdmin KSC
C’est curieux que les DVMap en ligne ne soient pas vraiment fidèles à la réalité… Est-ce dû aux changements de plan qui sont très couteux et peut être pas très bien estimées ?
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11 décembre 2019 à 10 h 52 min #14198GilfloParticipant
Il faudrait chercher sur les forums KSP qui publie ces cartes pour savoir comment sont faits les calculs, mais ce qui est certain, c’est qu’en majorité les DV sont largement sous estimés
ci joint le lien explicatif de ces cartes DV RSS
Ce qu’il faut voir c’est qu’elles correspondent a un jeu RSS avec RO. Et il est bien précisé que les chiffres peuvent varier.
Je n’utilise pas RO, donc pas les moteurs RO ….ceci explique cela.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 11 mois par Gilflo.
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